En tant que professionnel de la restauration collective, vous vous devez de préparer de bons petits plats avec des produits de qualité, et c’est tout à votre honneur. Toutefois, pour aider vos clients à consommer de manière responsable, mieux vaut miser sur des produits bio. En effet, cette agriculture fait l’unanimité auprès de certains producteurs, mais aussi auprès d’un grand nombre de personnes.
Une culture sans pesticide et sans engrais
L’alimentation bio permet de contrer l’agriculture non-respectueuse de l’environnement, produite avec des pesticides. Le label bio représente la garantie que les aliments consommés sont produits sans pesticides. C’est aussi l’une des raisons qui poussent les consommateurs vers cette alternative. Mais ce n’est pas la seule. Effectivement, l’agriculture bio plaît aussi aux défenseurs de la cause animale. Combien d’entre vous n’ont pas été outrés par les scandales sanitaires, de plus en plus réguliers ? Alors si vous vous préoccupez du sort de nos amis les animaux, des conditions d’hygiène, de la santé de vos clients, vous pouvez vous tourner vers des experts comme https://www.daucyfoodservice.com. Vous aurez à votre disposition une large palette de produits alimentaires bio, cultivés sans pesticides chimiques de synthèse et sans engrais.
Des produits sains dans les assiettes des consommateurs
Cette culture préserve beaucoup plus les eaux, les sols et la biodiversité des campagnes, qui comprend les différents insectes, notamment les abeilles, qui comme vous le savez, nous sont indispensables. Vous aurez donc l’occasion de ravir les papilles de nombreuses personnes, avec des produits sains et de très bonne qualité. A vous les pois chiches, brocolis, sauce tomate, haricots verts, betteraves rouges, carottes en rondelles et bien d’autres encore. Que vous achetiez des conserves ou du surgelé, vous serez certain de régaler les clients, puisque ces aliments sont qualitatifs et cultivés en France. De ce fait, vous privilégiez le travail de nos agriculteurs français mais aussi leur savoir-faire, et cela, au vu de la conjoncture actuelle, c’est loin d’être négligeable.